2 juillet 2012
Eros revient
Par tout ce qui vient d’elle il est ce miel la mer s’ensouvient de ses vagues eh bien lieu de renaître en vers
parmi les nuages tu la sues la pluie dessous d’aimer c’est là que les draps fondent corps alors goutte à gland soif cette marée-débord
j’ai mis les doigts dans la tapisserie des jours et l’ai continuée nuit comme lèvres jamais dedans n’a tant filé pour ailes !
d'où qu'elle coule en feu ce qui nous frôle c’est là toujours du rouge au grattis d’un ciel courbe et ce pourquoi nous dessinons nos rêves.
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